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T MOIGNAGE: L'auteur se consid re enfin gu ri de sa schizophr nie depuis maintenant plus de dix ans. Ni lui ni son entourage n'ont jamais vu venir pour autant alors le moindre indice de rechute dans celle-ci comme pourtant les psys le lui ont toujours malgr tout effectivement pr dit en cas d'arr t de son traitement m dicamenteux psy. Il fait remarquer aux psys ceci: Soit je ne prends plus aucun m dicament psy soit je ne prends plus qu'un sixi me ou qu'un tiers de la dose recommand e d'antipsychotique pour la schizophr nie par le laboratoire qui le fabrique depuis maintenant 2007. Les raisons qui m'ont permis d'aboutir ce r sultat th rapeutique id al maintenant pour moi sont mon avis les suivantes: mes relations sexuelles r guli res (une fois par semaine au d but et une fois tous les trois mois vers la fin) avec de jeunes prostitu es sexy de luxe m'ont effectivement gu ri de mon blocage psychologique vis- -vis du sexe oppos (timidit excessive) pour lequel les m dicaments psy et les entretiens psy n'avaient t en r alit que toujours compl tement inefficaces pour moi (1962-1966); sans elles jamais je n'aurais pu conna tre de toute ma vie une autre femme non-prostitu e et serais alors rest ainsi puceau jusqu' m me mort; les explications par le site Psychiatrie infirmi re de ce qu'est la r alit de la la forclusion du Nom-du-P re qu'avait d couverte effectivement sur ses malades psy de Sainte-Anne Jacques Lacan en 1955-1957 m'ont, elles, beaucoup aid au sujet de mon travail psy sur moi-m me; mes courriers pratiquement tous les jours mon ancienne psychiatre psychanalyste et mon ancienne assistante sociale de 2002 2012 m'ont permis, eux, en liquidant finalement mon transfert pistolaire caract re oedipien sur celles-ci de liquider de surcro t les derniers r sidus de ma schizophr nie; mon sevrage de mes m dicaments psy avec le soutien d'une association de psychiatris s en lutte (le Groupe Information Asiles o j'ai milit de 1989 2013) m'a, lui, fait d couvrir ma grande surprise que lorsque je cessai justement d'ingurgiter ceux-ci, qu'alors contrairement aux affabulations des psys moi-m me ce sujet, il n'y avait jamais pour autant, en r alit , au moins alors pour moi, le moindre indice de rechute dans ma schizophr nie d'autrefois; ma femme, par son amour v ritable depuis 1973, elle, a effectivement r par ce que mes deux parents avaient effectivement cass lors de mon complexe d'OEdipe et de castration dans le domaine de la libido infantile; etc. Qu'est-ce qui vous fait penser que ma structure mentale psychotique qui s' tait manifest e autrefois sous la forme de mes deux crises psychotiques n cessitant en tout environ trois mois d'hospitalisation en service ferm au d but de ma vie de jeune adulte l' ge de 21 ans en 1966-1967 la suite d'un grave choc affectif avec l'une de mes coll gues de bureau de six ans mon a n dont j' tais alors follement amoureux, n'aurait pas, elle, enfin compl tement et d finitivement disparu ? Cela pour les raisons que j'indique justement ce sujet ci-dessus et dont je d veloppe celles-ci d'une fa on plus exhaustive dans mon livre en dix tomes tous pour adultes et lesquelles n'ont strictement rien voir bien s r avec les soins habituels en mati re de schizophr nie ? . IL NE PEUT QU'INVITER TOUTES LES PERSONNES QUI VEULENT EN SAVOIR PLUS AU SUJET DE CE T MOIGNAGE CI-DESSUS QU' LIRE SON LIVRE.

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9781796445398

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